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yakṣa (démons de la nuit, 夜叉, yasha, yèchā)

Yakujō bosatsu (Supérieur es Remèdes, 藥上菩薩, Yàoshàng púsà, Bhaiṣajya samudgata)

Yakuō bosatsu (bodhisattva Roi des Remèdes,藥王菩薩, Yàowáng púsà, Baiṣajya Rāja)

Yakuō bosatsu honji hon (Conduite originelle du bodhisattva Roi des remèdes, 藥王菩薩本事品, Yàowáng púsà běnshì pǐn) : XXIIIe chapitre du Sūtra du lotus.

Yakushikyō (Sūtra de Maître es Remèdes, 藥師經, Yàoshī jīng)

Yakushi nyoraï (Ainsi-venu Maître es Remèdes, 藥師如來, Yàoshī Rúlái, Bhaiṣajya guru)

Yakusō yu hon (Parabole des simples, 藥草喩品, Yàocǎo yù pǐn) : Ve chapitre du Sūtra du lotus.

Yama (閻魔, Enma, Yánmó) : maître de l'enfer ou maître du monde des esprits affamés, repris par le bouddhisme dans la mythologie indienne. Fils de Vivasvan, le Soleil, qui est la mesure du temps, Yama est également le temps et la mort. Avec sa sœur jumelle Yami, ils auraient été les premiers êtres à mourir devenant ainsi les maîtres des séjours infernaux.

Yāngjuémóluójīng (Sūtra d'Aṅgulimāla, 央掘魔羅經, Ōkutsumarakyō) : voir Sūtra de la grande avancée excellente et subtile.

Yánfútí (Enbudaï, Jambudvipa)

Yanhui 顔回 : cf. Yanyuan.

yànhuìdì (embrasement de la sagesse, 焰慧地, eneji, arcismati)

Yánmó (閻魔, Enma, Yama)

Yanyuan 顔淵 plus communément appelé Yanhui 顔回 (-513 ~ -482) : un des principaux disciples de Confucius. C'est sous ce nom de Hui qu'il apparaît dans les Entretiens de Confucius. Parmi les disciples de Confucius, Yanhui était d'humble extraction, il était cependant le plus apprécié. Il suivit son maître dans une bonne partie de ses pérégrinations (cf. Confucius et sa pensée ) mais il mourut avant Confucius ce qui fut une peine supplémentaire pour ce dernier. Il figure au rang des quelques disciples très proches et était réputé pour sa compréhension de la doctrine et ses capacités intellectives. Nichiren le cite dans la Réponse à dame Nichinyo. Peut-être, y fait-il allusion alors à ce passage du Ve chapitre des Entretiens, paragraphe 8 : « Le Maître demande à Zigong : De Hui et de toi, lequel considères-tu comme étant le meilleur ?
Zigong : Mais comment oserais-je soutenir la comparaison ? À Hui il suffit d'expliquer une chose pour qu'il en comprenne dix ; quant à moi, je suis à peine capable d'arriver à deux !
Le Maître : Hui est certes supérieur, j'en conviens »[ref. Entretiens de Confucius,traduit par Anne Cheng, Le Seuil 1981]

Yàocǎo yù pǐn (Parabole des simples, 藥草喩品, Yakusō yu hon) : Ve chapitre du Sūtra du lotus.

Yàoshàng púsà (Supérieur es Remèdes,藥上菩薩, Yakujō bosatsu, Bhaiṣajya samudgata)

Yàoshī jīng (Sūtra de Maître es Remèdes, 藥師經, Yakushikyō)

Yàoshī Rúlái (Ainsi-venu Maître es Remèdes, 藥師如來, Yakushi nyoraï, Bhaiṣajya guru)

Yàowáng púsà (bodhisattva Roi des Remèdes, 藥王菩薩, Yakuō bosatsu, Baiṣajya Rāja)

Yàowáng púsà běnshì pǐn (Conduite originelle du bodhisattva Roi des remèdes, 藥王菩薩本事品, Yakuō bosatsu honji hon) : XXIIIe chapitre du Sūtra du lotus.

yasha (démons de la nuit, 夜叉, yèchā, yakṣa)

yatsu no michi (huit voies, octuple sentier ou chemin aux huit branches, 八の道, hachidō, bādào, aṣṭâṅga mārga)

yèchā (démons de la nuit, 夜叉, yasha, yakṣa)

yībào zhèngbào (rétribution pour le principal et son support, 依報正報, ehō shōhō)

yībǎozhū (une perle précieuse, 一寶珠, ichihōju) : voir fille dragon.

yīchǎntí (icchantika, 一闡提, issendai, icchantika)

yīdài (de son vivant, en son temps, 一代, ichidai)

yīdà sānqiānjiè (trichiliocosme, 一大三千界, ichidaï sanzenkaï)

yīdàshì (unique grande œuvre, 一大事, ichidaiji)

yīfǎ bù yīrén (selon la loi et non la personne, 依法不依人, ehō fu ejin)

yīliǎoyìjīng bùyī bùliǎoyìjīng (selon les sūtra aux sens définitifs et non les autres, 依了義經不依不了義經, eryōgikyō fue furyōgikyō)

Yilong (遺龍) : maître calligraphe chinois, fils de Wulong (烏龍). Son père, opposant farouche du bouddhisme, lui interdit de recopier les sūtra bouddhiques. Mais l'empereur exige de lui qu'il calligraphie le titre de chacun des rouleaux du Sūtra du lotus. Contraint d'obéir mais contre son gré, il sauve ainsi son père des tourments infernaux. Cette histoire que l'on trouve dans des recueils servant aux prêches des moines bouddhiques dès l'époque des Tang en Chine (618 - 907), se répand aux mêmes fins, dans le Japon médiéval et est reprise sous une forme vivante et augmentée par Nichiren dans la Réponse à dame nonne Ueno. Yilong se prononce Iryō en japonais. Voir aussi setsuwa.

yìmì (mystère du mental, 意密, imitsu)

yìnggōng (digne d'offrandes, 應供, ōgu, arhat)

yīniàn (Une pensée, 一念, ichinen, eka citta kṣaṇa)

yīniàn sānqiān (Une pensée trois mille, 一念三千, ichinen sanzen)

yīnguōhuátái (fleur de la cause et corolle de l’effet, 因華果台, ingekadai)

yīqiè xíng kǔ (tous les mouvements sont souffrance, 一切行苦, issaï gyō ku, dukhah sarva saṃskāra)

yīqiè zhìdì (terre de complète sagesse, 一切智地, issai chiji, sarvajñā bhūmi)

yīchéng (véhicule unique, 一乘, ichijō)

yīshēng bǔchù (expectative d'une naissance, 一生補處, isshō fusho, ekajāti pratibaddha)

yìshíjí (identité différée, 異時卽, ijisoku)

yītǐsānbǎo (trois trésors incorporés, 一體三寶, ittaisanpō)

yǐxìndérù (Par la foi posséder l'accès, 以信得入, ishintokunyū)

yīxīn sānguān (triple observation du coeur, 一心三觀, ishin sankan)

yīyì bù yīyǔ (selon la signification et non les mots, 依義不依語, egi bu ego)

yīzhèng (principal et son support, 依正, eshō)

yīzhì bù yīshì (selon la sagesse et non les jugements, 依智不依識, echi fu eshiki)

yodatsu (accord et opposition, 與奪, yǔduó)

yodōzaï (faute de complicité, 与同罪)

yogācārin : littéralement, pratiquant du Yoga. Adepte du mouvement Yogācāra (瑜伽行, yugagyō, yújiāxíng) également appelé Rien que conscience. Voir Vasubandhu.

yokkaï (monde du désir, 欲界, yùjiè, kama dhātu)

yokukita (欲吃多, yùchīduō, yukta) : voir concordance.

Yǒngshī púsà (bodhisattva Don-Héroïque, 勇施菩薩, Yūze bosatsu, Pradhānaśūra)

Yoritsuna (平頼綱) : voir Hei no Yoritsuna.

yōupósāi (優婆塞, ubasoku, upāsaka)

yōupóyí (優婆夷, ubai, upāsikā)

yǒuqíng (êtres émotionnels, 有情, ujō)

yǒuwéi (composé, 有爲, , samskrta)

yǒu wú (être et non-être, 有無, u mu)

yòuyǐn (attirance, 誘引, yūin)

youzuo (productif, 有作, usa

yuanjiao (enseignement global, 圓教, enkyō)

yuánjué (éveillé par liens, 縁覺, engaku, pratyeka buddha)

yuánmiè (extinction à l'origine, 元滅, genmetsu)

yuánqǐ (production conditionnée, 縁起, engi, pratiya samutpāda)

yuánróng sāndì (triple évidence harmonieuse, 圓融三諦, enzoku santaï)

yuǎnxíngdì (parcours lointains, 遠行地, ongyōji, duramgama)

yùchīduō (欲吃多, yokukita, yukta) : voir concordance.

yǔduó (accord et opposition, 與奪, yodatsu)

(actes, , karman)

Yuéfǎfànzhì (Délectation de la Loi [aspirant], 樂法梵志, Gyōbōbonji)

Yuimakyō (Sūtra de Vimalakirti, 維摩經, Wéimójīng)

yūin (attirance, 誘引, yòuyǐn)

Yuïshiki (Rien que conscience, 唯識, Wéishí)

yùjiè (monde du désir, 欲界, yokkaï, kama dhātu)

yukta (concordance, 相應, sōō, xiāngyìng)

yukta (欲吃多, yokukita, yùchīduō) : voir concordance.

yume (rêve, 夢, mèng)

yū no kami (divinités apparitionnelles, 用の神)

Yūze bosatsu (bodhisattva Don-Héroïque, 勇施菩薩, Yǒngshī púsà, Pradhānaśūra)

 
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