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(loi, 法, , dharma)

Fǎdào des Trois Corbeilles (法道三蔵, Hōdō Sanzō, Fǎdào Sānzàng, 1086 - 1147) : également appelé Yǒngdào (永道). Peu de sources citent ce moine chinois ou alors elles se reprennent toutes. L’essentiel des informations ci-après provient du Nichiren Daishōnin Gosho Jien, Chūgokuhen (Dictionnaire des Écrits de Nichiren Daishōnin, Volume Chine) de Yamamine Sunao (山峰淳). Trois Corbeilles est un terme honorifique indiquant que son détenteur maîtrise les enseignements des trois corbeilles : corbeille de la discipline (vinaya piṭaka), des enseignements du Bouddha (sūtra piṭaka) et des exégèses ou commentaires (abhidharma piṭaka). Dans les textes, ce moine est cité eu égard aux persécutions qu’il a subies. Il vécut à l’époque des Song du Nord (北宋) durant le règne de l’avant-dernier empereur, Huīzōng (徽宗, 1082 - 1135) également connu pour ses talents artistiques. Il écrivit une remontrance à ce dernier qui, fidèle de la doctrine du Dào (Tao), avait entrepris une sorte de « daoïsation » du culte et du clergé bouddhiques. Cet avis n’eut pas l’heur de plaire au souverain et Fǎdào fut marqué au fer au visage et exilé dans la région de Jiāngnán (江南) durant sept ans. Après l’effondrement des Song du Nord, gracié par le premier empereur des Song du Sud Gāozōng (高宗, 1107 - 1187), il devint le supérieur du temple Tiānqíngsì (天晴寺) et se vit conféré le titre de Grand Maître. Fǎdào incarne à la fois l’idéal de la résistance face à un pouvoir politique inique qui veut abaisser ou supprimer la diffusion de la loi bouddhique dans la société et le courage d’adresser des remontrances et de critiquer le dit pouvoir.

fāguāngdì (rayonnement de la lumière, 發光地, hakkōji, prabhākari bhūmi)

Fǎhuá (Fleur de la loi, Hokke)

Fǎhuá chànfǎ (Repentir selon la fleur de la loi [le], 法華懺法, Hokke senpō)

Fǎhuálùn (Traité de la fleur de la loi, 法華論, Hokkeron) : voir Instructions sur le Sūtra de la fleur de lotus de la loi merveilleuse.

fǎhuá nièpán shí (période Lotus et nirvana, 法華涅槃時, hokke nehan ji , saddharma puṇḍarīka mahapari nirvāṇa)

Fǎhuá qīyù (sept allégories du Lotus, 法華七喩, Hokke shichiyu) : voir sept paraboles

Fǎhuá sānbù jīng (Sūtra du lotus en trois parties, 法華三部經, Hokke sanbu kyō)

Fǎhuá sānmèi (samādhi du Lotus, 法華三昧, Hokke zanmai)

Fǎhuá wénjù (Mots et phrases de la Fleur de la loi, 法華文句, Hokke mongu)

Fǎhuá xuányì (Le Sens occulte de la Fleur de la loi, 法華玄義, Hokke gengi)

Fǎhuá zōng (École du Lotus, 法華宗, Hokke shū)

fǎjiè (monde des dharma, 法界, hōkaï, dharma dhātu)

fánfū jí qí (l'homme ordinaire s'identifie à l'ultime, 凡夫即極, bonpu soku goku)

fāngbiàn (moyens, 方便, hōben, upaya)

Fāngbiàn pǐn (chapitre des Moyens, 方便品, Hōben pon)

fāngbiàn yǒuyútǔ (Terre des moyens et du résiduel, 方便有餘土, hōben uyodo)

fāngděngqìjīng (sūtra développés et appropriés, 方等契經, hōdōkaikyō)

fāngděng shí (période de Déploiement, 方等時, hōtō ji, vailpulya)

fánnǎo (passions, 煩惱, bonnō, kleśa)

fánnǎo jí pútí (les passions s’identifient à l’éveil, 煩惱即菩提, bonnō soku bodaï)

Fàntiān (梵天, Bonten, Brahmā)

fǎshēn (corps de dharma, 法身, hosshin, dharmakāya)

fǎshēnzàng (法身藏, réceptacle du corps de dharma, hosshinzō)

fáshī (maître de la loi, 法師, hosshi, dharma bhāṇaka)

Fáshī gōngdé pǐn (Œuvres et vertus du Maître de la loi, 法師功徳品, Hosshi kudoku hon) : XIXe chapitre du Sūtra du lotus.

Fáshī pǐn (Maître de la loi, 法師品, Hosshi bon) : Xe chapitre du Sūtra du lotus.

fǎshuōzhōu (cercle de l'enseignement du dharma, 法說周, hōsesshū)

fǎ sìyī (quatre appuis de la loi, 法四依, hō shie)

faute de complicité (与同罪, yodōzaï) : faute "passive" que commet, par exemple, celui qui accepte des dons de ceux qui offensent la loi ou qui ne les réprimande pas. Une lettre de Nichiren traite de ce sujet (réf. : G. Renondeau, La Doctrine de Nichiren, Publications du musée Guimet, PUF).

fǎwèi (degré de la loi, 法位, hōi)

Fǎxiǎn 法顯 (320 ? - 420 ?) : moine, voyageur et traducteur chinois. Un long périple le mène en Inde où il visite notamment les lieux importants liés aux évènements de la vie du Bouddha. Il revient en Chine par la voie maritime après quinze ans de voyage. Il en a fait un récit, Mémoires de pays bouddhiques (佛國記, Fóguó jì), qui permet d'appécier l'état du bouddhisme dans l'Inde du quatrième siècle. Une traduction de ce texte ainsi que la présentation d'autres voyageurs chinois se trouvent dans le livre de Catherine Meuwese, L'Inde du Bouddha vue par les pélerins chinois sous la dynastie Tang, Calmann-Lévy 1968.

Fǎxiāng zōng (École du Caractère des dharma, 法相宗, Hossō shū)

fǎxìng (nature de dharma, 法性, hosshō, dharmata)

fǎyìn (sceaux de la loi, 法印, hōïn, dharma mudrā)

fǎyúndì (nuée de la loi, 法雲地, hōunji, dharma meghā)

fǎzuò (lieu de la loi, 法座, hōza)

fěibàng (offense, 誹謗, hibō) : voir l'article quatorze offenses.

fēiqíng (apathique, 非情, hijō)

Fēnbié gōngdé pǐn (Discernement des œuvres et vertus, 分別功徳品, Funbetsu kudoku hon) : XVIIe chapitre du Sūtra du lotus.

fēnduàn shēngsǐ (vies et morts déterminées, 分段生死, bundanshōji)

fēnzhēnjí (identité de la vérité fractionnée, 分眞即, bunshinsoku)

fétide (富單那, futanna, fùdānnà, putana) : apparaît notamment dans le chapitre Dharani du Sūtra du lotus. Sens sanskit putride, la Putride. ; sorte de démons féminins responsables des fièvres et des miasmes qui répandent une odeur horrible. En sanskrit le mot pūti (पूति) signifie putride, fétide, puant.

Fille dragon (龍女, Ryūnyo, Lóngnǚ, Nāgakanyā, नागकन्य) : personnage apparaissant dans le chapitre Don des Dieux du Sūtra du lotus. Elle est la fille du roi dragon de l'Océan (Sāgara nāgarāja, 海龍王) et, âgée de seulement huit ans, elle réalise l’éveil, incarnant ainsi l’un des principes du Lotus selon lequel, tous les êtres vivants quels qu’ils soient, sont possesseurs de la nature de bouddha. Ainsi, elle qui est d’une nature à la fois animale et féminine, parvient à l’éveil avant certains des grands disciples. Notons que pour dissiper les doutes du disciple Shariputra qui croyait difficilement que cet être à la fois féminin et animal devienne un éveillé, la fille dragon offre alors une perle précieuse au Bouddha qui l’accepte tout bonnement. Elle dit que l’éveil peut se réaliser aussi simplement et rapidement que cela et ce faisant, elle devient un bouddha. L'association symbolique du dragon et de la perle est très fréquente dans les mythologies chinoise et indienne, son interprétation est souvent difficile. Selon la Transmission orale sur les significations,dans le récit du Sūtra du lotus où intervient la fille dragon, les trois caractères qui constituent l'expression 'une perle précieuse' (一寶珠, ichihōju, yībǎozhū) représentent respectivement le Titre du Sūtra du lotus, la fonction (用) de la loi merveilleuse et sa substance (體). Notons que selon l'ordre des mots de l'expression chinoise nous avons une-précieuse-perle (一寶珠), d'où une = Titre, précieuse = fonction et perle = substance).

fin de la loi (末法, mappō, mòfǎ, paścima dharma) : on trouve différentes traductions pour ce terme : déclin de la loi, disparition de la loi, loi finale etc. Le sens reste assez évident dans les diférentes interprétations. Le règne de chaque bouddha est en effet supposé divisible en trois périodes, l'une dans laquelle la loi prospère à la fois dans la lettre et l'esprit (période de la loi correcte, 正法, shōhō, zhēng fǎ, sad dharma, une autre dans laquelle elle garde sa forme extérieure mais manque de contenu (période de la loi de ressemblance ou de semblance, 像法, zōhō, xiàngfǎ, pratirupaka dharma) et la troisième où la forme elle-même disparaît (période du déclin de la loi ou loi finale (末法, mappō, mòfǎ, paścima dharma). Sur cette doctrine bouddhique de la fin de la loi on se rapportera à La Vie et l'œuvre de Huisi de Paul Magnin (réf : Publications de l'École Française d'Extrême-Orient, Paris, 1979). Sur les datations relatives à la loi finale, cf. note 10 in La Représentation des quatre bodhisattva, pour avoir un aperçu du scénario de la disparition de la loi juste, on se reportera également à Prophéties relatives à la disparition de la Bonne Loi par Etienne Lamotte in Présence du Bouddhisme, Gallimard 1988, j'en donne ici un bref résumé : La fin de la loi selon le Vibhasa, une prophétie consternante.

fleur de la cause et corolle de l’effet (因華果台, ingekadai, yīnguōhuátái) : terme bouddhique assez peu fréquent, il apparaît notamment dans l’Essai sur la protection du Pays (守護國界章, Shugokokkaishō) écrit par Saichō en 818 dans le cadre de la controverse qui l’opposa au moine Tokuitsu (徳一) de l’École du Caractère des dharma. Nichiren cite un passage de ce traité où apparaît ce terme dans La Signification de l’incarnation. La ‘fleur de la cause’ représente les actes des neuf premiers mondes et la ‘corolle de l’effet’ le mérite de l’accession au monde du Bouddha qui est comparé à la corolle du lotus. L’expression renvoie à la simultanéité de la cause et de l’effet comme l'indique l'extrait de l'essai de Saichō : « La fleur de lotus de la loi merveilleuse en un esprit c’est la fleur de lotus en tant qu’incarnation dans laquelle s’accroissent simultanément la fleur de la cause et la corolle de l’effet.»

Fleur de la loi (法華, Hokke, Fǎhuá) : abréviation de Hokkekyō, Fǎhuájīng, le Sūtra du lotus mais aussi de Hokke shū, Fǎhuá zōng, École du Lotus.

(bouddha, 佛, hotoke)

Fondamentaux de la politique de Zhenguan (貞観政要, Jōganseiyō, Zhēnguānzhèngyāo) : dans le titre, Zhēnguān réfère à l'ère du même nom (627 - 649). Ère initiée par l'empereur des Tang Tàizōng (~600 - 649) qui aida son père à établir la dynastie Tang dont il fut le deuxième empereur. Les Fondamentaux de la politique comprennent dix volumes qui traitent des fondements de l'éthique politique impériale. Ce livre rapidement diffusé en Extrême-Orient est encore publié de nos jours. Il fait partie des ouvrages que Nichiren mentionne à la fin de la Lettre de Sado afin qu'on les lui fasse parvenir.

forme et esprit (色心, shiki shin, sé xīn, rūpa citta) : rūpa citta signifie en sanskrit forme et pensée. Cela a été traduit en chinois par sé xīn, c'est-à-dire littéralement "couleur et esprit", les différences de couleurs étant visuellement ce par quoi les formes se distinguent. Le bouddhisme distingue six sens (appelés six racines) : la vue, l'audition, l'olfaction, le goût, le contact et le mental. La forme correspond aux cinq premiers et l'esprit au sixième, la partie de la réalité sur laquelle la simple perception ne peut pas nous renseigner.

forme et le coeur correspondent parfaitement [la] (色心相應, shikishin sōō, séxīn xiāngyìng) : terme composé par concaténation de forme et esprit (色心) et de sōō (相應, xiangying) : concordance, ce qui se correspond (應) mutuellement (相), ce qui se combine, ce qui s'accorde. Cette expression est employée par Nichiren (cf. la Réponse à la nonne dame du moine Abutsu) notamment sous la forme 'le croyant dont la forme et le coeur correspondent parfaitement (色心相應の信者, shikishin sōō no shinsha)' et elle semble indiquer que pour ce croyant les actes sont l'expression adéquate de son esprit et donc de sa foi.

forme vénérable (尊形, songyō, zūnxíng) : corps vénérable de bouddha ou bodhisattva. Voir samaya pour le composé 'forme vénérable de samaya' (三摩耶尊形, sanmaya-songyō, sānmóyé-zūnxíng).

Formules détentrices [chapitre des] (陀羅尼品, Darani hon, Tuóluóní pǐn) : XXVIe chapitre du Sūtra du lotus. Ce chapitre très court commence par une question du bodhisattva Roi des Remèdes, dont il était question au chapitre XXIII, relative aux félicités que connaîtront les hommes et les femmes capables d’accepter et garder, de réciter, d’élucider et de copier le Sūtra du lotus. Innombrables les bienfaits qu’ils en retireront. Alors pour leur protection, le bodhisattva révèle une formule détentrice qui est citée phonétiquement. Dès lors, si quelqu’un cause du tort à ces maîtres de la loi, cela reviendra à nuire à d’innombrables bouddha. Un autre bodhisattva, Don-Héroïque révèle une autre formule (dharani) dans le même but. Les rois célestes ne sont pas en reste et deux d’entre eux donnent également des formules détentrices. Même des êtres démoniaques s’en mêlent, les dix ogresses, leur mère, Mère des Enfants Démons, et leur suite et progéniture révèlent une autre formule protectrice. Puis elles font serment de protéger les maîtres de la loi. Ceux qui les tourmenteront, leur "tête éclatera en sept morceaux comme un rameau de basilic". Ce chapitre est important car il montre la protection qu’apportent différentes sortes d’êtres au pratiquant du Lotus. Même des êtres de nature démoniaque y participent, ce quidevrait nous pousser à reconsidérer l’opinion que nous pouvons avoir sur eux.

formules détentrices (陀羅尼, darani, tuóluóní, dharani) : formule mnémotechnique permettant de garder présent à l’esprit et sans altération un enseignement et particulièrement un enseignement du Bouddha. Le terme chinois est simplement une translittération du sanskrit. On trouve comme traductions nōji, nengchi (capacité de garde, 能持) et sōji, zongchi (garde générale, également traduit mainteneur général, 総持). Ces formules sont réputées protectrices (cf. Sūtra du lotus, chapitre XXVI), dans ce cas l’aspect phonétique de leur incantation estimportant et elles sont donc dites dans leur langue d’origine. Nous trouvons dans la plupart des cultures anciennes des formules incantatoires plus ou moins complexes dont la mémorisation et la récitation sont jugées bénéfiques. Dans plusieurs mythes, les désagréments surviennent lorsque par inadvertance ou pour toute autre cause, on se trompe dans l’énoncé de la formule. Cf. paroles véritables, premier sens, avec à la fin de cette entrée, le composé «paroles véritables, formules détentrices » (眞言陀羅尼, shingon darani, zhēnyán tuóluóní, mantra dharani).

fósheng (véhicule du Bouddha, 佛乘, butsujo, buddha yāna)

fó shìzūn (éveillé, vénéré du monde, 佛世尊, butsu seson, buddha lokanātha)

Fó shuōguān Pǔxián púsà xíngfǎ jīng (Sūtra de l’enseignement du Bouddha quant à la méthodede contemplation du bodhisattva Sage-Universel, 佛説觀普賢菩薩行法經, Butsu setsukan Fugen bosatsu gyōho kyō)

foules diverses (雑衆, zasshu, zázhòng) : voir deux mondes, huit groupes (二界八番, nikaihachiban,erjiebafan).

Froide-Douleur [oiseau] (寒苦鳥, Kankuchō) : oiseau légendaire de l'Himalaya auquel Nichiren fait allusion dans la Lettre à Akimoto et dans la Lettre à Niike. Le comportement de cette oiseau illustre le peu d'assiduité des hommes dans la voie bouddhique. Dans les périodes de crise, ils décident de pratiquer ardemment l'ascèse bouddhique mais pour peu que les conditions s'améliorent leur conduite se relâche. Ainsi l'oiseau Froide-Douleur souffre cruellement la nuit du froid intense de la montagne et il se jure de se construire un nid pour s'abriter. Mais dans la journée, le soleil le réchauffe et il devient insouciant jusqu'à la nuit glaciale.

fuda (cartes-amulettes, 札)

fùdānnà (fétide, 富單那, futanna, putana)

fudōji (immuable, 不動地, bùdòngdì, acala)

Fudō myōō (Roi de Lumières Immuable, 不動明王, Bùdòng míngwáng, Acala nātha)

fue (non-destruction, 不懷, bùhuái, abhedya)

fùfǎzàng (passation des corbeilles de la loi, 付法藏, fuhōzō)

Fugen bosatsu (bodhisattva Sage-Universel, 普賢菩薩, Pǔxián púsà, Samantabhadra)

Fugen bosatsu kanbotsu hon (Exhortation du bodhisattva Sage-Universel, 普賢菩薩勸發品, Pǔxián púsà quànfā pǐn) : XXVIIIe chapitre du Sūtra du lotus.

fuhenshinnyo (véritable ainsité invariante, 不變真如, bùbiànzhēnrú)

fuhōzō (passation des corbeilles de la loi, 付法藏, fùfǎzàng)

Fujiwara no Kōzei (藤原の行成) : voir Kōzei.

fukai hon i (sans modification, le lieu originel, 不改本位, bùgǎi běnwèi)

Fukyo (bodhisattva Toujours Sans Mépris, 不輕, Búqīng, Sadapaributha)

Fùlóunà (Plénitude, 富樓那, Furuna, Pūrṇa)

Funbetsu kudoku hon (Discernement des œuvres et vertus, 分別功徳品, Fēnbié gōngdé pǐn) : XVIIe chapitre du Sūtra du lotus.

Furuna (Plénitude, 富樓那, Fùlóunà, Pūrṇa)

fuse (don, 布施, bùshī, danā)

fusho (補處, bǔchù) : voir expectative d'une naissance.

fùshǔ (légataire ou legs, 付屬, fuzoku)

fusōri (inséparabilité, 不相離, bùxiānglí)

futanna (fétide, 富單那, fùdānnà, putana)

fuzoku (légataire ou legs, 付屬, fùshǔ)

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